(...) Vous avez sans doute lu ou parcouru le projet PLF (Projet de loi de finances) 2020 et plus particulièrement la page 16 qui traite des certifications et tests de langues dans nos universités. C’est autour des notions de notoriété et – ceci étant lié à cela – de gratuité que s’organise la politique certificative que Matignon envisage de mettre en place. En effet, seuls les tests jouissant d’une reconnaissance internationale seront financés par l’Etat et seul l’anglais est a priori concerné par ce dispositif. Si le CLES a consenti des efforts considérables pour asseoir sa reconnaissance internationale, notamment via la mise en place du réseau NULTE (Network of University Language Testers in Europe) dont il est le co-fondateur, force est de reconnaître qu’il ne jouit pas, du moins encore à ce stade, de la notoriété que connaissent les tests concurrents tels que le TOEFL, le TOEIC ou encore IELTS qui, en matière de marketing publicitaire, disposent d’une force de frappe financière sans comparaison. Nous avons toutefois demandé, par le biais de la CPU, que le CLES puisse bénéficier dans les établissements de l’E.S, d’une partie de la somme allouée pour la passation des certifications en licence (...) Retrouvez l'intégralité du texte sur notre site.
|